lundi 16 février 2009

Celles qu'on ne touche plus



2 commentaires:

Anonyme a dit…

et pourquoi donc ?

Patrick a dit…

Tiens, je ne m'attendais pas à cette question... Faut-il une raison ?

Comme dans la chanson, peut-être simplement parce que l'amour meurt.
Parce qu'on en connaît d'autres, plus aguichantes, plus flatteuses.
Peut-être parce qu'aussi on s'en fait une image et qu'il est difficile de lutter contre son arbitraire.
Parce qu'en fin de compte, "elles ne sont pas notre genre"...
On peut toujours trouver bien davantage de raisons de ne pas aimer que de raisons d'aimer. C'est ce qui fait le prix de l'amour (et d'une bonne théière) !

Plus simplement, l'idée m'est venue en me remémorant un commentaire (je ne sais plus exactement quand, qui, quel blog) sur la pertinence du parallèle entre théières et femmes. Une telle comparaison en soi n'est pas très parlante, mais pour la pousser à son bout du bout, n'oublions pas que le plaisir esthétique et son accomplissement charnel demeurent d'ineffables mystères et, parfois, prennent des tournures qui s'apparentent à des fins.

Enfin, la chanson, finalement très vulgaire dans ses images, me fait bien marrer, même si ce n'est pas glorieux...