tag:blogger.com,1999:blog-8673528750827070525.post8379022742415445459..comments2023-10-24T13:53:05.590+02:00Comments on en forme de poire...: "Ambroise Paré, la main savante" - Jean-Michel DelacomptéePatrickhttp://www.blogger.com/profile/15735855916162365488noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-8673528750827070525.post-87794704886250117062008-01-18T23:35:00.000+01:002008-01-18T23:35:00.000+01:00Tout à fait : on pourrait comparer cela avec le so...Tout à fait : on pourrait comparer cela avec le souvenir grandiose que l'on a parfois des lieux de l'enfance, qu'on retrouve des années plus tard et dont on s'aperçoit qu'ils sont en réalité fort exigus. Malgré la réalité de ces endroits, ils restent majestueux !<BR/>Je crois que si je devais retourner dans les pays où j'ai voyagé, je les trouverais bien différents du souvenir que j'en ai. Pourtant, ce sont ces souvenirs qui me construisent et l'impression qu'ils m'ont laissé est vivace.<BR/>Souvent, c'est la première interprétation que j'ai entendue d'une oeuvre musicale que je préfère, même si j'en entends d'autres par la suite qui sont objectivement meilleures, plus virtuoses ou plus contrastées.<BR/>"Se tromper n'est rien" en la matière, ni en littérature. D'ailleurs, en littérature comme en art, peut-on jamais parler "d'erreur" (de goût ou de jugement) ? Quitte à choisir, tu as raison de préférer conserver le souvenir premier, c'est celui qui nourrit le plus. <BR/><BR/>"Se tromper n'est rien" - sauf peut-être avec les gens. Je veux dire : dans les relations interpersonnelles, les amitiés. Car alors l'erreur peut être source de souffrance, non ?Patrickhttps://www.blogger.com/profile/15735855916162365488noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8673528750827070525.post-15302875485535058072008-01-18T22:34:00.000+01:002008-01-18T22:34:00.000+01:00L'impression qu'il en reste, n'est-ce pas l'essent...L'impression qu'il en reste, n'est-ce pas l'essentiel d'un livre lu? Adolescent, j'avais rêvé sur L'Ecume des jours, de Vian. J'ai voulu le relire des années plus tard, à l'âge adulte. J'ai arrêté dès les premières pages: je détruisais quelque chose d'important en moi. Peut-être ce roman n'est-il pas un chef-d'oeuvre, mais j'ai préféré rester avec l'idée qu'il en est un. Se tromper n'est rien, c'est ressentir qui compte. Qu'en penses-tu ?Calystehttps://www.blogger.com/profile/16601539102859476269noreply@blogger.com